Lors de certaines interventions dermatologiques de faible ampleur par exemple le piercing du nez, l’épilation jambes sans douleur, l’allaitement douloureux ou même l’épilation en générale, les médecins conseillent de faire recours aux crèmes anesthésiantes afin de diminuer la douleur liée à l’effraction cutanée ou prévenir l’apparition d’une phobie des soins. Voici les raisons pour opter pour l’utilisation des crèmes anesthésiantes.
Crème anesthésiante pour éviter l’éjaculation précoce
Plusieurs sexologues expliquent les patients peuvent faire recours aux crèmes pour traiter l’éjaculation précoce. Il suffit de passer la crème comme la lidocaïne sur la verge 20 à 30 minutes avant l’acte, l’explication possible que donnent les spécialistes est que la crème contient un anesthésique local qui diminue la sensibilité de la verge. Ce qui permet aux hommes de ne plus paniquer lors des rapports sexuels.
Crème anesthésiante pour éviter les douleurs
Les médecins prescrivent les crèmes anesthésiantes pour toutes effractions cutanées sur peau saine. Il s’agit notamment des injections veineuses, artérielles, sous-cutanées, intramusculaires ou même lombaires. En cas d’ablation de molluscum contagiosum, les crèmes peuvent être utilisées. Par exemple, il suffit d’insensibiliser le nez à percer avec des crèmes anesthésiantes et le patient ne ressent aucune douleur et lui évite aussi les petites fissures sur le cartilage. La crème anesthésiante est aussi appliquée lors l’épilation des jambes pour la rendre moins douloureuse. Il suffit de l’appliquer sur les jambes durant 1h à 2h30. La crème rend l’après-épilation moins douloureuse et plus confortable. Les jeunes mamans font recours à la crème lors des premiers allaitements du bébé. En effet, certains mamelons sont très sensibles durant les premiers jours de l’allaitement. Les nouvelles mamans ressentent des douleurs même lorsque les bébés adoptent certaines positions. Cependant, l’utilisation de ces crèmes peut avoir des effets indésirables. Elle peut induire un érythème ou une pâleur locale ou même des lésions purpuriques chez le nouveau-né.