Protocole sanitaire : les enseignants remontés contre les nouvelles mesures dans les écoles
Depuis novembre 2019, la COVID 19 a impacté tous les secteurs. L’un des secteurs les plus touchés par son arrivée est l’enseignement. Vu qu’il s’agit d’un virus qui se transmet oralement, il est pris par les gouvernants des divers pays des dispositions sanitaires, lesquelles dispositions qui ne sont toujours pas conformes au protocole sanitaire. En France, les enseignants sont très remontés contre les nouvelles mesures qui sont prises dans les écoles. Découvrez-en plus dans cet article.
Les enseignants ont manifesté leur mécontentement à travers une marche
Les enseignants ont commencé la grève depuis quelques jours. C’est un droit qui leur est reconnu pour manifester leur désaccord quand ils se sentent trahis par une disposition ou mesure règlementaire. Loi est un terme qui désigne la volonté générale. Ces enseignants font comprendre qu’ils n’arrivent plus à supporter les mesures prises par le gouvernement dans le cadre des activités scolaires et universitaires. Ainsi, ils ont décidé de se rassembler le jeudi passé pour se révolter contre le protocole sanitaire.
C’est à cet effet que l’un des syndicats affirme qu’il ne s’agit pas d’une mobilisation pour se révolter contre la COVID 19. Mais c’est il est temps pour eux d’affirmer qu’ils ont marre des mesures qui se prennent pour entraver l’évolution des programmes scolaires. De même, il faut savoir que le protocole sanitaire a déjà été en exécution trois fois au moins à compter de l’année 2022.
Une grande mobilisation à travers une grève
Il est constaté qu’il y a un grand nombre d’enseignants qui ont participé aux mouvements de grève. Il est affirmé par un organisme public que plus de la moitié des enseignants du secteur public ont participé aux mouvements de grève, soit près de 75 % des enseignants. Il y a même plus de la moitié des écoles et des établissements privés et publics sont fermés. Alors qu’il y a le ministère qui affirme qu’il y a près de 78 000 enseignants soient le tiers des enseignants inscrits dans le logiciel de travail du gouvernement.